dimanche 22 mars 2015

A voté !


Mon devoir civique effectué (si si, c'est écrit sur la carte d’électeur), je peux vous raconter ce que j'ai fait de ma semaine.

En ce moment je suis très préoccupée de filage, j'ai donc filé, encore. Longuement. Parce que je n'ai pas choisi la méthode la plus rapide pour obtenir un fil. Je vous avais montré des fibres que j'avais plus ou moins cardé avec ma blending board, . J'ai filé ces fibres pour obtenir un long fil fin avec un dégradé du jaune au orange au orange plus foncé.


Puis j'ai préparé des tout petits crochets, 0,60mm et 0,75mm, et des perles en verre Miyuki 8/0, j'ai tensionné mon lazy kate avec les moyens du bord, et j'ai fais un retors navajo, qui permet de conserver le dégradé et d'obtenir un 3-fils avec un fil. Mais parce que c'était trop facile, j'ai glissé, avec les tout petits crochets, une perle sur la boucle, toutes les 2 ou 3 boucles.


Et voilà le résultat, 1 jour et demi passés sur le retors, ça valait totalement la peine !








Ceci étant dit, mes aiguilles à tricoter commencent à se plaindre, elles seraient soi-disant négligées. Et puis il y a des petites nouvelles qui sont arrivées cette semaine, Ce qui les rend encore plus jalouses. Du coup, j'ai essayé de les prendre en photo, pour les réconforter, leur prouver que je pensais à elles, et pas seulement quand je me demandais de quoi j'allais parler dans mon blog. Mais le soleil est parti, et du coup les photos sont moches.

Tant pis, les addi-clic sont toujours en train de faire la tête dans leur jolie pochette, il faut absolument que je teste les nouvelles. Des Knit Pro  9, 10, 12 et 15mm. Hier soir j'ai testé les 15mm, c'est enooooooooorme. Là je tricote un de mes premiers fils filés à la main avec les 12mm, c'est plus gérable. Je trouve ces aiguilles en bois très agréables, chaudes, douces, bref c'est la lune de miel






Ça se voit que je me disperse ?



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Allez voter !

Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Lorsqu’ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Lorsqu’ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.
Martin Niemöller

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